Marie-Jeanne LECA

A notre maman, notre carte merveille, notre grand-mère et arrière-grand-mère,

Maman, voilà une semaine que tu es partie et déjà ton absence creuse un vide immense dans nos cœurs et nos âmes.
Nous reviennent alors tous ces souvenirs, doux et parfois difficiles, que nous avons partagés ensemble, en France, en Afrique, en République Dominicaine où encore en Amérique du Sud.
Tu as toujours été présente à nos côtés dans nos moments les plus heureux comme les plus difficiles. Tu étais notre confidente, notre pilier et notre guide.
Ton cœur a tant souffert, et pourtant, tu savais toujours te relever et aller de l’avant. La vie ne t’a pas épargnée, mais tu as su faire face avec courage, dignité et amour.
Tu as toujours combattu avec forces les épreuves et relevé les défis et obstacles que la vie a mis sur ton chemin.
Tu étais une maman attentive, notre maman poule, veillant au moindre de nos soucis. Je me souviens encore de ta joie, mêlée de colère, lorsque tu as appris que j’avais reçu ma greffe tant espérée... et que je ne t’avais rien dit pour t’épargner.
Pour la naissance de tes petits -enfants tu étais à nos côtés et chacun d’eux garde de toi des souvenirs ineffaçables.
Pour Geoffroy et Marius, tu fus la grand-mère d’Afrique, celle qui les accueillait avec tant de chaleur. ils ont tant de souvenirs de toi quand ils sont venus te rejoindre, et cela leur restera gravés à jamais dans leur mémoire. Tu étais fière de tes deux petits-fils qui ont réussi ce qu’ils ont entrepris.
Quand tu as vu Elodie pour la première fois, je me souviens encore de ton regard émerveillé de voir ce petit bout de chou se trémousser devant toi, tu l’as aimé au premier regard et elle est devenue une de tes princesses que tu chérissais et qui tenais énormément aussi à toi.
Pour la naissance d’Angelina, je me rappelle et me rappellerai toujours, comme Luisa, que tu as fait voler les portes de la salle d’accouchement tant que tu étais inquiète de l’entendre hurlée. La peine de ta petit fille est immense, elle écoute souvent ta chanson de bon anniversaire gravée le 12 Août dernier.
Tu étais arrivée au Paraguay le jour de naissance de Geogeo, et tu étais comblée que Luisa avait décidé de le prénommer comme son Grand-Père. Tu lui manques énormément, il avait l’habitude de t’appeler 2 à 3 fois par semaine pour te raconter ses journées et tu faisais de même.
Quand tu as connu Loulou, tu l’as pris aussi sous ton aile et tu l’as aimé autant que tes autres petits-enfants. Ton amour était immense pour eux.
A la naissance de Kyle, tu riais en disant : «je suis arrière-grand-mère, mais je suis jeune pourtant !». Après la venue d’Evan, ton sourire lumineux a su éclairer nos cœurs comme toujours.
Tout nous reviens en mémoire sur les histoires que tu nous racontais sur toi, tes sœurs et tes frères. Je me rappelle le jour où vous avez décidé de sauter avec un parapluie du premier étage d’une ruine, ou encore quand tu jouais aux majorettes devant la tv de tes parents.

Depuis ton plus jeune âge, ta vie a été semée d’embûches mais aussi de moments de joie.
Il y a 3 jours, je t’ai envoyé un message pour te souhaiter une bonne nuit et j’ai réalisé que tu ne me répondrais plus jamais, et là, je t’ai écrit combien tu me manquais.
Nous nous sommes voilé la face Fabienne, Laurent, Luisa et moi ainsi que tes petits enfants qui pour nous, te croyaient éternelle. Tu es partie mais pas pour nous, tu resteras toujours dans nos cœurs et nos esprits, tu ne nous quitteras jamais.

Bonjour Mimi ton absence me fait un vide. Cela me fait bizarre que tu ne sois plus là.Toi qui t'inquiétais pour la moindre chose, tu étais si joyeuse quand je t'appelais... Pour être franc je me sens mal, mal car je t'appelais simplement pour prendre de tes nouvelles rien d'autre de temps en temps je te demandais comment allais ta famille ou te demandait ce que tu faisais...
Tu resteras dans mon cœur à jamais et pour toute la famille.
Repose en paix🕊️

Ma 2 maman est partie. On n'as pas eu le temps de se dire au revoir. Qui va me dire ma puce. J'étais ta dernière, la fille que tu as adopté par amour. Tu étais un pilier dans les moments difficiles de ma vie. Notre amour ne fini pas aujourd'hui, il restera pour toujours. On se verra un autre jour. Je t'aime mamounette

Ma mamie de cœur Mamie Mimi comme j’aimais l’appeler, était une femme exceptionnelle, qui a toujours eu une place unique dans ma vie.
Même si nous n’étions pas liées par le sang, elle m’a toujours considérée comme sa petite-fille, avec toute la tendresse et l’amour qu’une grand-mère peut donner.

Je garde en mémoire tous ces moments précieux, quand elle venait en France avec papi Gégé, et qu’ils venaient me chercher pour passer des week-ends avec eux. Ces instants étaient remplis de chaleur, de rires, de complicité, et ils resteront gravés en moi pour toujours.

La distance et les années n’ont jamais effacé la place qu’elle avait dans mon cœur. Elle a toujours été là, dans mes pensées et dans mon amour pour elle. Aujourd’hui, son départ laisse un vide immense, et une profonde tristesse m’envahit.

Mais je veux aussi me rappeler de tout l’amour qu’elle m’a donné, de la chance que j’ai eue de la connaître et de la vivre comme ma mamie. Je l’aimais très fort, et je l’aimerai toujours. Elle continuera de vivre à travers mes souvenirs, et dans mon cœur, pour toujours.